Dans un pays où la lumière est synonyme de vie, l’obscurité s’est progressivement installée à Cuba. Le phénomène des pannes électriques est devenu alarmant, touchant quotidiennement des millions de Cubains. Ces interruptions de courant, qui s’intensifient avec les saisons, ne sont pas seulement des coupures passagères. Elles reflètent une crise plus profonde, une série de défaillances qui transforment la quotidienneté locale en véritable lutte pour le confort et la sécurité.
La toute première des inquiétudes face à cette situation croissante concerne la fréquence des coupures. Les données indiquent qu’elles sont devenues presque normales dans certaines régions. Qu’il s’agisse d’une coupure de quelques heures ou d’une journée entière, chaque instance laisse son empreinte sur les esprits. De nombreux habitants racontent comment ils doivent s’organiser pour la gestion de leurs activités quotidiennes. L’angoisse s’installe alors que l’incertitude représente un stress permanent pour les familles, surtout celles comptant des enfants ou des personnes âgées.
Les raisons derrière ces pannes récurrentes sont multiples et souvent imbriquées. Les infrastructures vieillissantes du réseau électrique, héritées d’une époque où la demande était moindre, font partie intégrante du problème. De plus, l’augmentation de la consommation d’électricité, notamment avec l’arrivée de nouveaux appareils électroménagers et une population croissante, met une pression supplémentaire sur un système déjà fragilisé. Pour de nombreux ménages, ces coupures ne signifient pas seulement l’absence de lumière, mais aussi l’impossibilité de conserver des aliments périssables ou, dans des cas plus graves, l’arrêt de soins adaptés pour les blessés et malades.
Les témoignages se multiplient, et beaucoup disent avoir perdu confiance en un retour à une situation normale. L’humidité des nuits sans électricité et la chaleur accablante du jour amplifient leurs frayeurs. Au-delà de l’inquiétude concernant la santé et la sécurité, il y a aussi des considérations économiques. Les petits commerces, par exemple, subissent de plein fouet ces aléas. Les boulangeries ne peuvent pas conserver leurs produits frais ; les restaurants voient leurs clients s’éloigner, effrayés par l’idée de passer une soirée dans le noir.
Cela ne s’arrête pas là. Les pannes alimentaires créent une onde de choc qui affecte l’ensemble du quotidien, même les élèves et les étudiants peinent à étudier sans électricité et sans connexion internet. Cette réalité accrue et persistante laisse les membres de la communauté perplexes face à un avenir où la lumière deviendrait un luxe.
Le mécontentement populaire grandit au fur et à mesure que les gens s’expriment sur leurs luttes quotidiennes avec ce phénomène. Les réseaux sociaux voient fleurir des appels à l’action, certains citoyens exigeant des plans d’urgence, tandis que d’autres cherchent simplement à connaître les vraies origines de ce défi croissant. Les émissions radio locales et même des initiatives collectives émergent, appelant chacun à s’engager pour une amélioration des infrastructures et une réponse plus rapide aux besoins croissants de la population.
Il est d’une importance capitale d’être à l’écoute des préoccupations légitimes des Cubains. Le sentiment de révolte peut rapidement se transformer en stratégie si la société se mobilise. C’est le moment propice pour réfléchir à des solutions innovantes qui pourraient potentiellement transformer cette crise en catalyseur de changement. Peut-être que les nouvelles générations de leaders communautaires pourraient proposer des alternatives audacieuses et durables pour un avenir plus radieux.
Ces défis font désormais partie intégrante de la réalité des Cubains et, malgré l’adversité, l’espoir demeure. L’union et le soutien mutuel dans les communautés pourraient bien représenter la lumière au bout du tunnel.
Les infrastructures vétustes de Cuba, héritées d’une époque d’abondance relative, n’ont jamais été véritablement modernisées pour répondre aux exigences actuelles. Les centrales électriques, qui devraient fonctionner en toute sécurité, font face à des défaillances techniques en raison du manque d’entretien et de mise à niveau. Les spécialistes soulignent que beaucoup de ces installations datent des années 1960 et 1970, lorsque la demande en électricité était sensiblement inférieure. En plus des équipements défectueux, les réseaux de distribution sont également dans un état lamentable, exacerbant ainsi les problèmes d’approvisionnement en électricité tout au long de la journée.
De nombreux experts reconnaissent que la dégradation des infrastructures frappe plus durement certaines régions rurales par rapport aux zones urbaines. Alors que les villes, avec leurs nombreuses installations, peuvent bénéficier de solutions alternatives comme les groupes électrogènes, les habitants des campagnes sont souvent laissés pour compte, subissant des coupures prolongées sans aucune alternative. Les témoignages sont poignants ; des familles décrivent comment elles se reconstruisent au jour le jour dans l’obscurité et la confusion, à la recherche de solutions faites maison pour gérer le manque d’électricité.
Pour témoigner de cette situation, des vidéos circulent sur les réseaux sociaux. On y voit des habitants se battre avec des lampes à huile, feux de camp improvisés et batteries de secours, cherchant désespérément des moyens de faire face à une crise qui semble interminable. Ces images résonnent fortement dans le cœur des Cubains, suscitant une empathie collective et une prise de conscience accrue des insuffisances du système. Leurs cris de désespoir résonnent donc aussi comme un appel à l’action.
Les conséquences de cette détérioration des infrastructures endommagent non seulement le confort quotidien, mais également le moral collectif. Les écoles deviennent des lieux d’enseignement ternes et peu attrayants, où les élèves peinent à se concentrer dans l’absence de lumière. Les initiatives culturelles, qui sont souvent des vecteurs de réinforcement des liens communautaires, sont également impactées, devenant de plus en plus rares. Les opérateurs de cinéma, par exemple, voient leurs projections annulées et leurs économies s’effondrer.
L’impact économique est indéniable. Des entreprises, petits commerçants ou artisans investissant leurs économies sont confrontés à la faillite, car la régularité de l’approvisionnement en électricité est fondamentale pour de nombreuses activités. Les restaurants, les ateliers et même les garages sont anéantis par des semaines d’inactivité. Les conséquences se propagant à travers le tissu économique du pays deviennent alarmantes, entraînant ainsi une perte d’emplois qui ne fait qu’aggraver la situation.
Dans ce contexte difficile, la question se pose quant à la responsabilité des autorités en place. Les appels à la transparence, à des investissements rapides dans des infrastructures modernes et à la mise en œuvre de solutions durables se multiplient. Certains citent des exemples de pays voisins qui ont su faire preuve de résilience face à des défis similaires. Ils s’interrogent alors : pourquoi Cuba ne pourrait-il pas emprunter des voies novatrices?
Ces interrogations doivent servir de point de départ à une réflexion collective sur l’avenir du pays. Les réponses exigent de multiplier les efforts en matière de sensibilisation et d’engagement communautaire. Peut-être que chaque quartier, chaque rue, pourrait devenir un acteur incontournable dans la redynamisation d’un système défaillant. Les expériences malheureuses aux mains des infrastructures vétustes doivent devenir un catalyseur pour un avenir plus prometteur.
Des initiatives locales émergent déjà. Certaines organisations de la société civile commencent à rassembler les ressources nécessaires pour des projets de micro-infrastructure, allant de la mise en place de panneaux solaires dans certaines communautés isolées à des stratégies collectives de stockage énergétique. Ces approches participatives permettent également de renforcer les liens entre voisins, transformant ce qui pourrait être un environnement hostile en un havre de solidarité.
Face à cette crise, il est crucial de garder à l’esprit que le changement est souvent long et complexe. Pourtant, la lutte pour un avenir plus lumineux commence déjà. La voix de la communauté doit résonner pour exiger des mesures concrètes destinées à réhabiliter les infrastructures vieillissantes et à améliorer le quotidien des Cubains. De l’espoir et du courage, il en reste encore beaucoup, et le chemin vers la lumière dépendra de la force collective de chacun. Avec des voix unies et une détermination à toute épreuve, la lumière pourrait bien revenir à Cuba, un jour à la fois.
Dans ce contexte déjà difficile, la pénurie de carburant aggrave encore plus la situation électrique de Cuba. Les restrictions sur l’approvisionnement en carburant ont des répercussions directes sur la capacité des centrales électriques à fonctionner efficacement. Les coupures de courant, déjà fréquentes, se font d’autant plus ressentir face à cette crise énergétique. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : des millions de Cubains se retrouvent plongés dans le noir pendant des heures, voire des jours, ce qui érode encore un peu plus leur moral et leur volonté de se battre.
Le carburant, essentiel au fonctionnement des générateurs et centrales électriques, devient un bien rare. Les files d’attente devant les stations-service sont devenues une image familière sur l’île. Les citoyens patientent des heures, parfois des jours, pour obtenir quelques litres d’essence, dans l’espoir que cela leur permettra de faire fonctionner leurs générateurs à domicile. Bien souvent, ces longues attentes n’apportent que de la frustration, car les réserves s’épuisent sûrement, laissant bras ballants des familles qui ne savent plus où se tourner.
Pourtant, cette réalité ne se limite pas aux ménages ; elle touche aussi le secteur économique. Les petites entreprises et commerces, déjà fragilisés par les pannes d’électricité, doivent désormais faire face à des coûts énergétiques prohibitifs. L’augmentation des prix du carburant entraîne une spirale d’inflation qui touche tous les aspects de la vie quotidienne des Cubains. Les nombreux artisans, restaurateurs et commerçants, qui peinent déjà à joindre les deux bouts, voient leur situation devenir dramatiquement inextricable. Ils doivent souvent choisir entre investir dans le carburant pour faire fonctionner leur équipement ou utiliser ces précieuses ressources pour subvenir aux besoins de leur famille.
Les témoignages des habitants abondent sur les réseaux sociaux. De nombreuses mères, déjà accablées par le poids des coupures électriques, partagent leur inquiétude. Elles racontent comment elles doivent jongler entre l’éclairage à la bougie pendant la nuit et le réapprovisionnement de batteries pour téléphones et lampes, tout cela en espérant ne pas manquer de carburant pour leur générateur. Des instances de solidarité émergent, avec des voisins qui s’épaulent en partageant le peu de carburant qu’ils parviennent à obtenir, mais cela ne fait qu’illustrer la gravité de la situation où l’entraide devient une nécessité pour survivre.
L’impact de cette pénurie de carburant est donc massif. Prenons un instant pour considérer un aspect souvent négligé : l’impact sur le secteur de la santé. Les hôpitaux doivent eux aussi composer avec l’irrégularité du courant et la pénurie de carburant. Les générateurs, qui devraient assurer un approvisionnement électrique constant pour les équipements médicaux, ne fonctionnent pas toujours pour manque de combustible. Les patients dépendent de ces appareils pour leur survie, et l’incertitude des fournitures de carburant rend leur situation encore plus précaire.
Ainsi, la vulnérabilité du système de santé se trouve exposée à fleur à mesure que les pannes d’électricité se cumulent. Les chirurgies prévues sont souvent reportées, les traitements sont interrompus, et bien que le personnel médical fasse tout ce qu’il peut pour le bien de leurs patients, la situation n’en demeure pas moins critique.
Les autorités cubaines peinent à apaiser les craintes et la frustration croissantes de la population. Les promesses en matière d’amélioration de l’approvisionnement en carburant et de soutien aux infrastructures deviennent régulières, mais les faits semblent inéluctablement se faire tarder. Des centaines de personnes s’interrogent sur leur avenir, leur résilience mise à rude épreuve alors qu’elles doivent se rendre à l’évidence : la situation pourrait se prolonger.
Dans ce contexte de crise, l’importance d’une mobilisation communautaire n’a jamais été aussi essentielle. Face aux pénuries, plusieurs initiatives ont vu le jour pour promouvoir des solutions alternatives à l’énergie traditionnelle. Les projets d’énergie renouvelable, comme l’installation de panneaux solaires ou des groupes électrogènes fonctionnant à l’énergie éolienne, suscitent de plus en plus d’intérêt. Ces alternatives, bien qu’encore marginales, permettent aux Cubains de prendre un peu de contrôle sur leur approvisionnement énergétique, tout en créant des sources de revenus pour les entrepreneurs locaux.
Le parcours reste semé d’embûches, et le chemin vers l’autosuffisance énergétique se dessine comme un défi de taille. Cependant, l’esprit de solidarité et l’innovation locale peuvent offrir des pistes de sortie, faisant naître l’espoir d’un avenir moins sombre. Les actions coordonnées sous forme de coopératives peuvent également s’avérer bénéfiques. En unissant leurs forces, les Cubains peuvent peut-être construire ensemble leur propre voie vers l’autonomie, malgré les adversités.
Il est crucial de garder espoir et de continuer à chercher des solutions à long terme, même dans ces temps difficiles. La créativité et l’engagement des citoyens peuvent transformer la crise actuelle en une opportunité d’évolution et de redynamisation des infrastructures. Les voix doivent s’élever pour exiger une réponse adéquate des autorités, afin que chacun, à Cuba, puisse envisager un lendemain plus lumineux. Chaque geste compte, chaque action peut apporter un soupçon d’espoir dans les cœurs fatigués des Cubains en attendant des jours meilleurs. La lumière peut revenir, oui, mais elle nécessitera un effort collectif et une volonté de transformer cette obscurité en un catalyseur de changement.
Les coupures de courant, exacerbées par la vétusté des infrastructures et la pénurie de carburant, laissent la population cubaine dans un état de désarroi palpable. Les conséquences ne se limitent pas simplement au confort : elles plongent les familles dans une lutte quotidienne pour la survie et le bien-être. Dans ce climat d’incertitude, chaque jour devient un défi pour des millions de Cubains, fragilisés par la précarité énergétique qui pèse sur leurs vies.
La situation actuelle a transformé le paysage urbain et rural. Les citadins doivent faire face à l’impossibilité de conserver des aliments périssables, à cause des coupures fréquentes de réfrigération. Ainsi, des produits aussi basiques que le lait, les viandes et les légumes deviennent des luxes éphémères, contribuant à une insécurité alimentaire grandissante. Les familles se voient contraintes de faire leurs courses chaque jour, dans une lutte constante pour ne pas gaspiller la nourriture, multipliant les visites au marché chaque matin, espérant que les étals ne seront pas vides.
Les témoignages de parents se succèdent, chacun partageant comment ils jonglent entre les pannes de courant, les repas préparés à la hâte et l’angoisse de voir leurs enfants pleurer de faim. Dans certains cas, ce sont les plus vulnérables, comme les personnes âgées ou les malades, qui souffrent le plus des conséquences de ces coupures. À l’impossible accès à une alimentation équilibrée s’ajoute un sentiment de désespoir croissant, rendant les familles encore plus anxieuses et stressées.
Bref, il ne s’agit pas seulement d’électricité ; il s’agit de la qualité de vie elle-même. Les écoles, où l’éducation des enfants devrait être un pilier, sont désormais impactées. Sans électricité, les cours sont souvent interrompus. Les enseignants tentent de compenser, mais le manque de lumière rend les salles de classe presque inutilisables en fin de journée. Les élèves se retrouvent donc privés d’un apprentissage suffisant, aggravant leur perspective d’avenir. Même les sessions d’examen sont perturbées, laissant les élèves dans le flou quant à leurs qualifications.
Au-delà des impacts sur l’éducation et l’alimentation, la détérioration des services publics prend aussi le visage d’un accès réduit à des soins médicaux adéquats. Les hôpitaux, surchargés, doivent composer avec des coupures de courant saisissantes. Les générateurs, censés assurer un approvisionnement continu en électricité, sont souvent à court de carburant. Les opérations chirurgicales essentielles sont retardées, et le sort des patients dépend parfois de la chance d’avoir un voisin avec suffisamment de combustible pour faire fonctionner un générateur. Cette situation stimule un climat de panique et d’angoisse qui plane sur les hôpitaux, déstabilisant même le personnel soignant, déjà à bout de nerfs.
Il n’est pas rare de voir des groupes de médecins discuter à voix basse des défis qu’ils rencontrent quotidiennement, mettant en lumière leurs craintes pour la santé de leurs patients. Les histoires sur les réseaux sociaux, où des familles relaient des appels désespérés à l’aide, témoignent du mécontentement croissant et de la peur qui s’installe dans la population.
Les répercussions économiques amplifient également les tensions. Les travaux d’artisanat et de commerce, qui autrefois pouvaient fournir un revenu suffisant pour de nombreuses familles, se retrouvent souvent stoppés par les coupures d’électricité imprévisibles. Les entrepreneurs, qui s’efforcent de maintenir leur activité, se voient désormais forcés d’augmenter les prix de leurs produits et services en raison des coûts de l’énergie. Les clients, avec moins d’argent à dépenser, désertent les magasins, ce qui menace de plonger davantage d’entrepreneurs dans la précarité.
Sur un plan social, le climat de méfiance et de désespoir s’étend. La gratuité des services de santé ne garantit plus une assistance adéquate, et le mécontentement s’exprime à travers des rassemblements et des discussions dans les rues. Les adeptes de la solidarité tentent de s’unir pour répondre aux besoins immédiats des plus touchés. Les campagnes de dons et d’entraide se multiplient, mais cela ne fait qu’atténuer une crise majeure qui mérite une attention immédiate et sérieuse.
- Les attentes interminables : Les files d’attente interminables pour se procurer des bougies, des lampes à huile ou des piles sont devenues une scène courante. Les familles se parlent, échangent des astuces pour survivre et partagent des conseils sur la meilleure façon d’utiliser leurs ressources limitées.
- Le jugement de la société : La culpabilité et la honte peuvent parfois surgir chez ceux qui ne parviennent pas à subvenir aux besoins de leurs enfants ou à gérer leur consommation d’énergie, amplifiant le sentiment d’isolement. Pourtant, la réalité est que la situation de chacun échappe à son contrôle.
- De l’entraide par nécessité : Les initiatives de voisinage, où les gens s’entraident pour maintenir des générateurs en marche ou partager des réserves de nourriture, se multiplient. Cela témoigne d’une résilience poignante qui émerge malgré des circonstances extrêmes.
Les conséquences de cette crise énergétique s’expriment donc à chaque niveau de la société. L’impact psychologique est tout aussi significatif. Les Cubains, habitués à faire preuve de solidarité et de résilience, se retrouvent cependant acculés, incapables de gérer le stress cumulatif des coupures persistantes. Les professionnels de la santé mentale commencent à s’inquiéter des effets à long terme sur la santé mentale de la population. Les sentiments de frustration, de colère et d’impuissance pourraient se transformer en dépression ou en troubles d’anxiété dans un avenir proche.
Le sentiment d’invisibilité de la population peut également peser sur le moral. Lorsque les plaintes ne semblent pas trouver d’écho au niveau gouvernemental, cela agit comme un catalyseur pour les mécontentements. Plusieurs citoyens se demandent dans quelles mesures leurs voix seront entendues, et il devient essentiel d’éveiller la conscience sur ces défis et de proposer des espaces de dialogue. Les rêves de changement peuvent sembler loin, mais chacun doit sentir que ses préoccupations peuvent contribuer à une vision collective d’avenir.
La lutte quotidienne des Cubains est un symbole de leur résilience, mais leur besoin de soutien et d’innovation est grandissant. Les communautés commencent à se mobiliser, faisant pression pour impliquer les décideurs dans leurs préoccupations légitimes. Les appels à des réformes et à des initiatives en matière de durabilité énergétique ne sont pas que des revendications; ils sont un cri de désespoir, mais aussi d’espoir pour un avenir où le droit à un approvisionnement stable en électricité est respecté.
En attendant des solutions pérennes, l’héritage d’une communauté soudée et résiliente, capable de surmonter les défis, peut faire bouger les lignes et démontrer que l’obscurité actuelle pourrait finalement éclairer la voie vers un changement profond. La lutte pour des infrastructures modernes et un avenir radieux nécessite une détermination sans faille, et avec une voix collective, la lumière peut revenir, transformant la crise actuelle en occasionangan une nouvelle vision pour Cuba.
Dès lors, pour envisager un avenir moins sombre, il est primordial que des actions concrètes soient mises en place. Le gouvernement cubain, ainsi que les leaders de la société civile, doivent établir un dialogue franc et ouvert avec la population. Ce besoin de transparence et d’engagement est essentiel pour regagner la confiance des citoyens, qui se sentent aujourd’hui abandonnés. Les initiatives doivent être orientées vers des solutions adaptées, et il est urgent d’installer un système d’approvisionnement en électricité plus résilient.
Il existe des exemples inspirants d’initiatives citoyennes qui montrent que des miracles peuvent être réalisés même dans les situations les plus désespérées. À travers le monde, des mouvements communautaires ont réussi à transformer leurs défis en opportunités, et Cuba ne doit pas faire exception. Les programmes de formation et d’éducation pour la population concernant les énergies renouvelables, ainsi que les techniques de gestion de l’énergie, pourraient inspirer une transition vers une autonomie énergétique. Les Cubains rêvent d’une société où chacun peut contribuer, où le partage des connaissances et des ressources devient une norme, plutôt qu’une exception.
Le rôle des ONG et des groupes communautaires est également crucial. En conjuguant leurs forces pour sensibiliser sur les enjeux liés à l’énergie, ils peuvent jouer un rôle d’intermédiaire entre la population et les entités gouvernementales. Créer des ateliers participatifs et des forums de discussion est une excellente manière de combler le fossé entre gouvernants et gouvernés. Ainsi, la voix de chaque Cubain pourrait résonner au plus haut niveau décisionnel, apportant des idées innovantes et des solutions aux crises. Cela favoriserait également un sentiment d’appartenance et d’efficacité, car les citoyens verraient leur participation avoir un impact direct sur leur quotidien.
De ce constat découle aussi l’importance d’investissements étrangers dans les infrastructures cubaines. Attirer des investisseurs intéressés par les projets d’énergies renouvelables contribuerait à revitaliser un secteur en souffrance. Par ailleurs, la diversification des sources d’énergie est un enjeu vital. L’extension de l’énergie solaire et éolienne à travers l’île pourrait réduire la dépendance au carburant importé, créant ainsi une davantage d’autonomie. La mise en place de partenariats avec des entreprises internationales pourrait permettre de partager la technologie et le savoir-faire, accélérant la transition énergétique tant attendue. Cuba a l’avantage de bénéficier d’un ensoleillement exceptionnel, ce qui en fait un terrain de jeu idéal pour les projets solaires.
Les énergies renouvelables, en plus de résoudre les pannes récurrentes, offrent aussi des bénéfices environnementaux significatifs. Favoriser une transition énergétique plus verte est une réponse non seulement à un problème d’approvisionnement, mais aussi à la crise climatique qui frappe le monde entier. Les jeunes générations de Cubains, déjà engagées dans la protection de leur environnement, pourraient devenir des acteurs de premier plan dans ce mouvement. Les projets de vérification des ressources, de recyclage, et la promotion d’une économie circulaire pourraient transformer l’approche des communautés cubaines vis-à-vis de l’énergie.
L’émergence de réseaux d’entraide et d’échange de services au sein des quartiers ne doit pas être ignorée. Des systèmes d’entraide, où les citoyens apportent leurs compétences spécifiques pour répondre aux besoins des autres, pourraient permettre non seulement de briser l’isolement mais aussi de stimuler l’économie locale. Les coopératives de production d’énergie, inspirées par des modèles de succès ailleurs dans le monde, pourraient également constituer une solution innovante et pragmatique pour surmonter cette crise énergétique.
Les jeunes Cubains, porteurs de rêves et d’aspirations, ont un rôle prépondérant à jouer dans cette dynamique. Encourager leur participation dans le secteur de l’énergie, par le biais de programmes éducatifs et de projets pilotes, les incitera à s’engager dans la construction d’un avenir meilleur. En mettant à profit le savoir-faire technique des nouvelles générations, Cuba pourrait tirer parti d’une main-d’œuvre créative et motivée, désireuse de participer à la transformation nécessaire du pays.
En analysant la situation actuelle, il est apparu vital de se concentrer sur les véritables besoins des Cubains. L’accent doit être mis sur la transparence et l’ouverture aux idées. Organiser des consultations publiques pour que les citoyens puissent exprimer leurs attentes envers les décideurs politiques, et travailler ensemble pour élaborer une feuille de route durable pourrait changer la donne. Il serait également bénéfique d’augmenter les fonds de soutien aux projets liés à l’énergie renouvelable tout en promouvant l’importance d’une infrastructure électrique moderne et complète.
La transition vers une énergie durable est un chemin semé d’embûches, mais chaque pas franchi est un pas vers la lumière. Les Cubains ont prouvé leur résilience par le passé, et cette période difficile peut être un nouveau chapitre dans l’histoire de Cuba. Les luttes d’aujourd’hui peuvent ouvrir la voie à un avenir où la lumière ne sera pas seulement une commodité, mais un droit accessible à tous. Ensemble, avec une vision commune et des efforts unis, la population cubaine peut espérer et bâtir un lendemain où l’obscurité ne sera qu’un lointain souvenir, et où la lumière brillera sur chaque coin de l’île.